sabato 29 novembre 2008

sexe et art à NY




Si un modèle, pointant ses longues jambes vers le ciel, commence à susciter des commentaires qui sortent du domaine artistique et bifurquent vers la concupiscence, s'agit-il encore d'un cours de dessin ordinaire?

Pour une trentaine de New-yorkais réunis pour une séance de Dr Sketchy (Dr Crobard), une "anti-école d'art" autoproclamée, qui a propagé à travers la planète son désir de retourner aux origines bohèmes de l'art, la réponse est clairement oui.
"Parfois, cela fait du bien d'être attiré par ce que l'on dessine, et ici c'est clairement le cas", clame ainsi Maria Hooper, 28 ans, en croquant son modèle, une fétichiste connue sous le nom de Mosh.

Les cours de dessin classiques font appel à des modèles nus, mais dans une atmosphère généralement neutre et silencieuse. Chez Dr Sketchy, c'est tout le contraire: lors d'une séance organisée le week-end dernier à New York, les artistes buvaient des cocktails et laissaient glisser leur plume au son du rock 'n' roll. La scène se déroulait dans un bar néo-burlesque, mouvement artistique inspiré des cabarets, baptisé Slipper Room.

Le fait que Mosh ne soit pas nue, mais plutôt vêtue d'une robe ultra moulante et très courte, d'une petite culotte noire minuscule et de talons vertigineux, ne semblait qu'ajouter à l'excitation.

"Je suis impatiente de voir les autres tenues qu'elle va porter", glissait Maria Hooper, costumière de théâtre.
L'idée de ces ateliers du Dr Sketchy est née dans le cerveau de Molly Crabapple, illustratrice à succès de 25 ans, qui voulait insuffler de la vie dans ce que les artistes décrivent souvent comme des scènes statiques.

Il existe désormais une douzaine de Dr Sketchy au-delà des Etats-Unis, de Glasgow à Singapour, en passant par Tokyo.
Tous utilisent la même formule: boissons corsées, atmosphère branchée, et modèles de style néo-burlesque; un cocktail détonant qui semble faire mouche à tous les coups.
"C'est très dynamique parce que les costumes et les modèles sont souvent des danseurs ou des artistes qui font des performances et donc ils ont des corps très dynamiques", a-t-elle ajouté.

La jeune femme, vêtue d'une robe courte qui révèle le haut de ses bas colorés, n'a rien contre les cours de dessin classiques, mais elle juge cette "anti-école d'art" plus pimentée.
"Il y a un contexte en plus. Cela stimule l'imagination", dit-elle.

Molly Crabapple affirme que son idéal artistique est le romantisme et le côté bohème incarné par le peintre français du XIXe Toulouse-Lautrec.
Avec cela en tête, elle encourage le "dessin-enivré", les blagues graveleuses et les comportements excentriques. Et elle veut des modèles qui soient des "bêtes de foire, des rockeuses, des amazones, ou des fétichistes".

"Chez Dr Sketchy, tout le monde est un artiste sérieux, mais c'est une façon d'entrer dans un monde fantastique, une version passée de ce qu'être artiste pouvait vouloir dire", explique Molly Crabapple.

Au Slipper Room, les croqueurs amateurs devaient débourser 10 à 12 dollars pour pouvoir dessiner Mosh, sur une estrade minuscule entourée d'un cadre dorée et de lourds rideaux.

Après plus de trois heures de pose, le modèle prenait des poses de plus en plus extravagantes, faisant la moue au public ou accentuant son regard mélancolique à travers sa longue frange blond platine.
"Dr Sketchy a un côté théâtral. C'est toute une histoire", explique Monica Hunken, 27 ans, une actrice qui utilise de l'aquarelle pour peindre une délicate version de la poseuse fétichiste.

Giorgio De Chirico in mostra


De Chirico in mostra a Roma con il ‘suo’ museo"
L’arte enigmatica di Giorgio De Chirico ospitata, dal
20 novembre 2008 al 25 gennaio 2009, alla Galleria Nazionale D'Arte Moderna a Roma.
A trent’anni dalla scomparsa del pittore la Galleria Nazionale d’arte Moderna e Contemporanea e la Fondazione Giorgio e
Isa De Chirico hanno riunito 100 opere dell’Artista per vagliare
il suo rapporto con l’arte del passato. In una sorta di museo immaginario, l’esposizione, che ha come titolo “De Chirico e il museo” presenta dipinti ispirati al passato che il pittore realizzò e tenne nel suo studio romano.
Con una sola grande scultura l’itinerario si articola in sei sezioni tematiche.
Mitologia e Archeologia mostra il rapporto dell’artista con il mondo classico, soprattutto la Grecia, sua terra natale, fatto di imitazione nel senso di comprensione dell’intima essenza del “mito” per crearne nuovi.
Con la Neometafisica assistiamo ad una ricapitolazione dei temi passati che tornano originali grazie per gli accostamenti inediti dei soggetti.

La sezione Copie da Antichi Maestri vuole essere un’ulteriore prova che il nuovo può essere espresso con un’icona antica; mentre La Grande Pittura mostra l’evoluzione della tecnica pittorica del Maestro verso la pittura ad olio, “la maniera di Renoir’, nell’esaltazione dei rossi e dei gialli.

Notevole la sezione Rubens: dopo gli anni trenta, infatti, la produzione di de Chirico è mutuata da quella di Rubens, il maestro prediletto.

L’ultima sezione, Opere su carta, infine, raccoglie i disegni in tema con la mostra, un’occasione per comprendre meglio il procedimento di lavoro attuato dall’Artista.

De Chirico e il museo Galleria Nazionale d'Arte Moderna

Viale delle Belle Arti 131, RomaFino al 25/01/2009

Le italiane padrone del proprio stile

Moda: secondo il sondaggio della rivista “Grazia”, le donne italiane scelgono il proprio look, senza farsi trascinare dal “fashion system”
Le donne italiane non si lasciano influenzare dalla moda del momento, ma decidono il proprio stile: lo rivela un sondaggio del settimanale “Grazia”, che mostra come le donne non sono vittime del “fashion system”, ma vere e proprie stiliste di se stesse.

La rivista, infatti, ha indagato sul rapporto delle italiane con la moda ed ha scoperto che le donne prediligono lo shopping, non possono fare a meno dei tacchi ed adorano le borse, ma non si fanno condizionare dalle tendenze.

Grazia, dunque, sottoponendo a 13277 lettrici un questionario (realizzato in collaborazione con la Facoltà di Design della Moda, Politecnico di Milano), ha dimostrato che ben un 65% delle donne italiane decide il proprio look, abbinando a scelta i capi, secondo il gusto personale.

Marcello!




Marcello de Cartier :una nuova borsa per una storia d’amore lunga una vita..
Marcello: l’ultima borsa nata dal savoir faire artigiano della maison francese, spontanea e sofisticata, declinata in varie versioni, è adatta a tutti i momenti della giornata e in qualsiasi situazione, ma sempre con l’inconfondibile eleganza firmata Cartier.
Per l’autunno-inverno 2008/2009 tre nuovi versioni che si aggiungono ai modelli classici.
Per la donna sofisticata Marcello si veste di coccodrillo in un chiaro-scuro sfumato nei toni del beige e del rosso; nubuck rosso, beige e bruno con bordi di karung per le giornate in...libertà; e infine la versione king size, per vivere un’intera giornata con Marcello, che impone le sue nuove misure concepite per un travelling cui non manchi nulla.
Per chi in questa molteplicità non fosse riuscito a trovare la borsa ad hoc, Cartier dà l’opportunità di personalizzare ogni dettaglio, e offre alle proprie clienti il servizio su misura, con la possibilità di realizzare una borsa che sia specchio di chi la indossa, unica e insostituibile come ogni donna sa essere.
Così Marcello si moltiplica e si adatta alla personalità di chi la sceglie: argento per l’elegante Chiara Muti o semplicemente nera, come l’ha voluta Monica Bellucci.

E per l’inverno Cartier ha in serbo una borsa da sera di coccodrillo nero, impreziosita da uno scintillante logo Maison di diamanti, espressione del talento orafo Cartier applicato alla pelle più pregiata. Un pezzo unico, solo su ordinazione, per un sogno che la maison parigina trasforma in realtà.
Il sogno di un compagno ideale, che finalmente ha un nome: Marcello!

Temoignage d'une française à Milan


Céline vit depuis 3 ans et demi à Milan.

Partie en Erasmus, elle travaille aujourd'hui dans la branche marketing d'un grand laboratoire. Elle nous livre son point de vue et ses adresses sur une capitale de la mode.
Céline est assistante marketing à Milan

Comment décririez-vous le style des femmes en Italie et à Milan : classique où à la pointe des tendances ?

Il faut distinguer les Milanaises des Italiennes.

Ces dernières s'habillent souvent comme bon leur semble, sans se soucier de la mode qui les entoure. Ce qui est presque impossible à Milan, tant la ville bat au rythme de la mode.!

A l'image de certaines Françaises, beaucoup d'Italiennes adoptent un style pratique, sobre, classique et recherchent avant tout simplicité, confort et qualité.

Rien d'extravagant donc. Mais une part non négligente d'entre elles, principalement les adolescentes, affichent un style "osé" voire "vulgaire" allant du look sportif (jean taille basse, converses, baskets, tee-shirts imprimés, vestes en cuir...) aux dimensions réduites des mini-jupes, t-shirts moulants, chaussures à hauts talons...

Les Milanaises suivent de près les évolutions de la mode, du moins autant qu'elles peuvent se le permettre. Elles sont donc souvent fières de briller avec des vêtements de marques célèbres et identifiables.

C'est par exemple le cas avec des accessoires comme des sacs à main Prada, Gucci, Dolce & Gabbana... Et que dire des lunettes de soleil qui doivent impérativement être de marque si l'on ne veut pas détonner !

A votre avis comment se démarque la mode à Milan par rapport à la mode française ?
"Chaque collection témoigne d'une recherche et d'un goût toujours renaissants"
Difficile d'imaginer ces deux capitales de la mode aux antipodes l'une de l'autre, tant elles se suivent dans les grandes lignes.

Chaque année, elles s'alignent au niveau des tendances et portent un même regard sur la mode, globalisation oblige...

Les différences se rencontrent davantage dans le style, l'originalité et la personnalité de chaque grand créateur.

Les Italiens, vrais maîtres en la matière, ne manquent pas d'inspiration et chaque collection propose des défilés hauts en couleurs, témoignant d'une recherche et d'un goût toujours renaissants. Mais si je devais parler de la couche moyenne des Italiennes, je dirais qu'on ressent moins cette recherche du style, d'une certaine féminité et du raffinement qu'à Paris.

Quels sont les grands créateurs présents ?
Est-ce vraiment nécessaire de mentionner les noms des plus grands créateurs comme Versace, Gucci, Dolce & Gabbana, Prada, Armani, Ferré, Loro piana, Max Mara, Valentino...?

Il semble donc difficile d'évoluer dans une telle ville sans être rapidement touchée par le souffle créatif qui sort des grandes maisons de couture italiennes.

Quels sont les vêtements tendance du moment ?
Le trench a le vent en poupe et le jean détient toujours le monopole.

Il séduit toutes les couches de la société qui adoptent en chœur la coupe slim, très en vogue à Milan.

Les Milanaises le portent en optant pour un style "casual" de jour, qui peut devenir très classique et élégant le soir.

Pour les chaussures, on retrouve les fameuses bottines, les bottes en tous genres, les escarpins...

Les bouts pointus ont presque complètement cédé la place aux bouts ronds ! Une nouveauté : voici venu le temps des richelieus.

Quelle "shoppeuse" êtes-vous ?
Bien que je puisse y prendre plaisir, le shopping n'est pas spécialement un loisir mais plus un besoin. J

e fais rarement les boutiques sans but précis. J'ai tendance à fuir les grands centres commerciaux.

Je préfère errer dans les rues de Milan à la rencontre de petites boutiques typiques. Là, j'espère à chaque fois trouver quelque chose d'original, qui puisse me correspondre, mais aussi d'abordable, ce qui n'est pas toujours facile. Pour le coup, rien en cela ne diffère de mes habitudes en France.

J'ai toujours privilégié la qualité et l'originalité à la banalité.

La solution à Milan se trouve dans les magasins de dégriffe, les Outlets, ou bien il y a le vintage... Je dirais donc que je fais partie de la catégorie des "shoppeuses" plutôt discrètes.

Quel a été votre dernier achat mode et pourquoi avez-vous craqué ?
Je me suis offert un trench noir chez Penny Black, ce beau magasin Corso Vittorio Emanuele !

J'ai craqué pour sa coupe super originale et le rapport qualité-prix relativement honnête.


Le carnet d'adresse de Céline à Milan ?
Si vous allez à la Rinascente place du Dôme, vous trouverez toutes les grandes marques réunies dans un seul et même magasin à plusieurs étages, équivalent aux Galeries Lafayette ou au Printemps en France : un incontournable pour qui veut se faire une culture mode.
Notez au passage que le Zara près du Dôme a une entrée magnifique unique en son genre, type Arts déco : à voir absolument.
Les rues Montenapoleone, della Spiga ou Sant Andrea rassemblent toutes les plus grandes marques. Nous sommes ici au cœur de la haute couture et de la mode milanaise. On ne peut pas venir dans cette ville sans se promener au moins une fois par là.

Le Corso Vercelli a aussi sa raison d'être.

Moins typiques mais stratégiques, le corso Buenos Aires ou bien la rue Torino sont deux grandes avenues bordées de magasins étrangement familiers (Zara, H&M, Camaïeu, Pimky, Promod, Benetton, Sisley, Mango...).
J'avoue avoir eu récemment un coup de cœur pour le magasin Blunauta (l'ex-Balloon) de la rue Dante, près du Castello Sforzesco, autre rue de prédilection pour toute shoppeuse confirmée. Là, vous ne trouverez que des tissus naturels, coton, lin, laine, cachemire et soie, pour des prix vraiment honnêtes.
Pour les chaussures, j'aime beaucoup le magasin Spelta de la rue Solferino à Brera, vraie référence en matière de ballerines (mais aussi escarpins, bottes,...), réalisées ici artisanalement.
Il y a aussi Mauro Leone, qui se trouve Corso di Porta ticinese, Penny Black, Liu Jo, Max Mara... Ils ont souvent de beaux articles mais ça c'est pour le régal des yeux, lorsque je décide de faire un peu de lèche-vitrine !

martedì 25 novembre 2008

Le MAF : Le mec à fuir!

Vous visez le long terme sentimental ?
Avant de vous jeter à corps perdu sur une target (une cible) potentielle apprenez à démasquer l'imposteur (le MAF : Mec A Fuir), en déchiffrant son look, ses manies, son appart', sa voiture, son entourage...
Pour nous aider, Hélène Prost dresse une liste (non exhaustive) de 25 spécimens à bannir de sa wish list.
Parmi eux, j'ai sélectionné quelques portraits assez familiers et pour cause, je les ai déjà fui !

L'Arriviste :
Son but ultime : arriver au statut social qui lui conférera son droit d'exister.
"Tout être inanimé ou vivant, représente un moyen d'ascension. "
Quelques indices pour le reconnaître : Il passe sa vie au portable (au cas où il aurait mieux à faire ailleurs et sans vous). Il analyse votre pouvoir d'achat en demandant les marques que vous portez, votre job, voir votre salaire. Il est griffé de pied en cap.
Le Grippe-Sou :
A ne pas confondre avec l'économe.
Le Grippe-Sou est bien pire et se répand comme la peste. Vous avez beau vous dire qu'avec l'inflation et la baisse du pouvoir d'achat, les temps sont durs mais là il y a des limites.
D'autant que paradoxalement, Le Grippe-Sou ne se prive pas pour se faire plaisir. Mais quand il s'agit de partager, l'addition par exemple, il n'hésite pas à faire le décompte si l'un de ses amis a pris un dessert. Pathétique.
Quelques indices pour le reconnaître : Pour votre premier dîner en tête-à-tête, il fait moite-moite, s'il vous invite, il paie en ticket resto et demande la monnaie ou il demande la facture (pour faire passer le diner dans les frais professionnels).
Le Jaloux :
Ça peut avoir son charme, surtout si c'est le sosie de George Clooney, jusqu'au jour où il vous offre un GPS pour vous localiser 24h/24 , il vous appelle à n'importe quelle heure, il vous suit.
Quelques indices pour le reconnaître : il vous demande rapidement en mariage, il vous encourage à démissionner, il fouille dans votre sac.
Le Nabab :
L'été à Saint Trop', l'hiver à Gstaad. Il connaît tous les lieux branchés de la capitale. Vous imaginiez avoir décroché ZE ONE : ne vous leurrez pas ! Il attendra la période Viagra pour se poser et se reproduire.
Quelques indices pour le reconnaître : il roule en Coupé sport, il sort sa Platinium plus vite que les autres pour régaler sa bande, il a tous les gadgets très chers à la mode .
Le Queutard :
"L'homme descend du porc"..
Rien ne sert de lutter : il n'y a aucun remède à cette réalité physiologique. Arrêtez de vous remettre en question, vous avez beau avoir le corps d' Eva Longoria et le QI de Sharon Stone, rien n'empêchera Le Queutard d'aller voir ailleurs.
Faites attention quand même, Le Queutard est sournois et peut vous attendrir en vous lançant qu'il rêve de fonder un foyer, que vous êtes spéciale, que vous êtes unique..
Quelques indices pour le reconnaître : il soigne son look au détail près. Il parle de lui, de ses qualités, il dit qu'il est sincère.

galeries d'art en ligne


Galeries d'art
en ligne :
Aujourd’hui en
matière d’art, inutile
d'arpenter les salles
de vente ou les galeries
pour acheter un tableau,
un dessin, une photographie
ou une sculpture.
Les galeries virtuelles,groupements d'artistes
et autres sites spécialisés se multiplient en effet sur la toile.
Ce nouveau mode de diffusion, encore méconnu, ouvre un peu plus le champ de l'art contemporain à tous les publics, et non plus seulement à quelques privilégiés.

En parallèle à la FIAC (Foire Internationale d'Art Contemporain, à Paris du 23 au 26 octobre) et parce qu’il y en a pour tous les goûts, MarieClaire.fr vous propose donc sa sélection de galeries d’art online, du style graffiti à la photographie en passant par les sculptures…

Style contemporain : www.emoluxe.com
Amateurs d'art à la recherche d'une œuvre originale et unique, Emoluxe répondra à vos attentes : le site propose actuellement des collections de vases, de tableaux et de pièces de forme en émaux, entièrement exécutée à la main, comprises entre 140 et plus de 2.000 euros. L'unicité de chaque œuvre est garantie par un certificat d'authenticité.
Emoluxe souhaite également promouvoir une sélection d'œuvres d'artistes renommés, telle l'émailleuse Mauricette Pinoteau, mais aussi de jeunes artistes particulièrement talentueux, à des prix abordables !

Pour faire connaître des artistes : www.galerie-art-virtuelle.com
Vous souhaitez acheter l'œuvre d'un peintre encore méconnu, ou vous faire connaître en tant qu'artiste, Gaviart (galerie d'art virtuelle en ligne) est alors fait pour vous.
Le site propose à chaque artiste, confirmé ou débutant, un espace d'exposition indépendant, et l'aide à se faire connaître. En tant qu'acheteur, vous en aurez également pour tous les goûts : peinture, sculpture, dessin, photographie, poésie, musique, et également pour toutes les bourses, les prix variant en fonction de l'artiste...

http://www.galerie-art-virtuelle.com/
http://www.emoluxe.com/

Photographies : www.cassegrain.org
Si vous êtes amateurs des grands espaces sauvages, le site du photographe Christophe Cassegrain propose une collection « vintage » et 52 paysages de Zion, Bryce, Arches, Gunnison, Paria plateau, Yosemite, Grand Canyon, Antelope Canyon, Mono lake, Colorado plateau ...
Tous les tirages sont ilfochromes (excellente qualité d'archivage, résistance aux attaques du soleil et pureté des blancs), signés et numérotés par l'auteur, pour des prix variant entre 200 et plus de 1.000 euros.

Des prix très abordables : www.carredartistes.com
Carré d'artistes propose une sélection de 30 artistes régulièrement renouvelés (un artiste par semaine) dont les œuvres sont comprises entre 54 et 276 euros.
Sur un marché souvent inaccessible, le site se veut être, pour les amateurs d'art, un moyen et adapté pour accéder à l'art contemporain.
Située à Lyon, la galerie Carré d´artistes organise également des ateliers d´art abstrait ou figuratif. Après une initiation aux formes, couleurs et perspectives, les enfants âgés de 7 à 11 ans, produisent leur chef-d´oeuvre en s´inspirant des modèles de la galerie. De quoi éveiller votre sens créatif !
http://www.carredartistes.com/

Style graffiti : www.blkmarket.net
Pour les aficionados de graffiti, Black Market est Le site incontournable !
Créé par Richard « SEEN » Mirando, figure emblématique du mouvement graffiti, et certainement celui qui l'a le plus influencé, le site regroupe des œuvres réalisées par les artistes qui ont créé les plus belles années du graffiti new-yorkais : Comet tc5, l'homme aux 25 000 trains, ou encore Cap Mpc, le «Graffiti artist» le plus controversé de tous les temps.
Aujourd'hui, alors que s'offrir une «pièce» d'un maître new-yorkais relève de l'inaccessible, SEEN souhaite proposer des œuvres à des prix accessibles pour tous : les œuvres son en effet comprises entre 150 et 6.000 euros. Grâce à internet, le chemin entre l'artiste et le passionné n'a jamais été aussi direct.
Le leitmotiv de Black Market : no agent ! no gallery !
http://www.blkmarket.net/

Des œuvres faciles d’accès : www.enviedart.com
C'est le site qu'on ne présente plus. Pour mettre l'art à la portée de tous, le site fait tout pour faciliter la tâche du néophyte.
Les pièces sont répertoriées par thèmes, par techniques, mais également par genres, par budgets et par couleurs.
Il y en a pour tous les goûts, mais pas forcément pour toutes les bourses : les œuvres sont en effet comprises entre 1.000 et 5.000 euros.
Le client peut même, à la demande, acheter une œuvre personnalisée, pour se sentir un peu artiste dans l'âme... Et pour les internautes qui veulent voir l'œuvre « en vrai », le site loue également des salles où il les expose

I 200 anni di Brera


Duecento anni per diventare grande.
Questa la parola d'ordine con la
quale stamani il sindaco di Milano
Letizia Moratti
e i ministri per i Beni Culturali e della Difesa,
Sandro Bondi e Ignazio La Russa,
hanno firmato il Protocollo
d'intesa per la conservazione
e valorizzazione del patrimonio
culturale di Milano.

In occasione del bicentenario, che cade nel 2009,
la Pinacoteca di Brera raddoppierà dimensioni nella sede storica - e il restauro, con ampliamento
e ammodernamento delle strutture, promettono,
sarà terminato per l'Expo 2015 - mentre l'Accademia traslocherà nella caserma Magenta di via Mascheroni.

Oltre all'attuale sede dove sono esposte le opere, Palazzo Citterio accoglierà dunque il patrimonio novecentesco, le collezioni Jesi e Zavattini, le donazioni dei privati (come la Fondazione Terruzzi), insieme alla biglietteria e al nuovo bookshop.

Ma non è tutto.

Tra gli altri beni culturali meneghini di cui si annuncia il restauro o l'apertura c'è la Sala delle Asse di Leonardo da Vinci nel Castello Sforzesco, la Beic, ossia la grande Biblioteca Europea di cui si parla da anni, un parco archeologico che sorgerà sulle rovine della città romana - che fu capitale dell'impero dal 286 al 402 d.C. -, mentre il Museo della Scienza sarà riorganizzato mettendo al centro la sua eredità leonardesca. Per quanto riguarda il programma del bicentenario, invero senza il “botto”, sono stati annunciati dalla soprintendente Sandrina Bandera una serie di mostre, concerti, conferenze e convegni.

Si parte a gennaio con Brera ospita: Caravaggio, tre dipinti del genio lombardo (Il ragazzo con canestro di frutta della Galleria Borghese, i Musici del Metropolitan Museum di New York e la versione della Cena in Emmaus oggi alla National Gallery di Londra, a confronto con quella posseduta dalla Pinacoteca) e col restauro del gesso della statua di Napoleone realizzato dal Canova.

Si prosegue ad aprile con Brera com'era: Paesaggi di Lombardia. 1817-1822, excursus sul paesaggio della Lombardia dedicato a Marco Gozzi e ai dipinti a lui commissionati dal viceré Eugenio di Beauharnais e poi dal presidente dell'Accademia, seguito dalla presentazione del restauro del celeberrimo Sposalizio della Vergine di Raffaello.

A giugno sarà la volta di Brera com'era: Il “Gabinetto dei ritratti dei pittori” di Giuseppe Bossi, omaggio a uno dei primi segretari dell'Accademia di Belle Arti. A ottobre si annuncia poi una mostra del Crivelli che ricostruirà due dei complessi più importanti realizzati dall'artista nell'ultimo decennio del Quattrocento: il restaurato Trittico di San Domenico e l'ancona del Duomo, entrambi provenienti da Camerino.

Chiude il programma una mostra, a novembre, dedicata ai documenti fotografici che testimoniano le vicissitudini subìte da Brera durante le due guerre.

Tutte le manifestazioni saranno realizzate dalla Soprintendenza per i Beni Storici, Artistici ed Etnoantropologici della Lombardia Occidentale, con la collaborazione della Direzione Regionale per i Beni Culturali e Paesaggistici della Lombardia e con il contributo di Civita e di Electa (che pubblicherà i cataloghi delle mostre).

Tutte iniziative interessanti, certo.

Ma sembra proprio di poter dire che manca il grande evento caratterizzante, la mostra-clou, in grado di (ri)lanciare veramente Brera in un'orbita internazionale degna della sua plurisecolare tradizione. Sono tutti eventi di “dimensioni contenute”, che non disturbano e non danno nell'occhio. Il che fa temere, per la Pinacoteca, che il 2009 sarà un'occasione sprecata. (elena percivaldi) link correlati

Une rencontre..

Il était une fois…
… deux femmes qui ne se connaissaient pas.

L’une revenait de Dubai, l’autre quittait Londres et bien plus.
Quelque part à Paris, elles se sont rencontrées.
Entourées de leurs bagages, elles ont partagé le même bout de table, l’une avec son thé au lait, l’autre avec son café serré.
D’abord, elles se sont souries.
Puis, elles ont parlé de tout, de rien, de leur peur de l’avion surtout.
L’une lisait Yasmina Khadra, l’autre Vogue.
Alors, elles ont discuté bouquins, mode, chaussures.
L’une portait de vieilles ballerines rose un peu trop serrées.
L’autre râlait car le talon de son escarpin était décollé. Puis elles ont partagé un croissant. Trop beurré pour l’une, pas assez croustillant pour l’autre mais bien trop cher assurément. Inévitablement, elles ont parlé de nourriture, de leur amour pour la bonne bouffe, la vie… et l’écriture.
- Vous écrivez ? demanda la première en voyant dépasser d’un sac un Moleskine tout écorné.
- Oui, répondit l’autre. Sur du papier ligné.
- Et bien moi, je préfère le papier quadrillé.
- Pensez-vous que nous nous reverrons ?
- Non, je ne crois pas.
- Alors, nous nous écrirons ?
- Assurément.
A la hâte, elles ont échangé leurs adresses, l’une sur un ticket de métro, l’autre sur un marque-page, puis elles sont reparties comme elles étaient venues, l’une dans ses vieilles ballerines rose, l’autre dans ses escarpins bariolés.

Seule la terrasse du café à conserver un petit bout du talon abandonné comme une preuve de cette rencontre irréaliste.
Les deux femmes ne se sont jamais revues mais n’ont jamais cessé d’écrire et de s’écrire. Quelques années plus tard, elles ont eu l’idée un tantinet saugrenue de correspondre sur un blog.

Aujourd’hui, elles vous proposent de les rejoindre pour un café ou une tasse de thé sur Le Théorème de l’Escarpin, une drôle d’aventure à 4 mains et 2 claviers qu’elles espèrent bien partager avec d’autres plumes comme celle de la très talentueuse Dalyna qui vous fera découvrir ses chroniques chaque mercredi matin.










les strings, les culottes..





Jusqu’à présent, je détestais
les strings.

Ou plutôt, je détestais l’image
de pétasse qu’ils donnaient.
Parce que je les voyais surtout dépassant du pantalon ultra
taille basse des filles dans
la rue .



Jusqu'au jour où j'ai essayé
un joli string de La Perla..
et de trouver que ça m'allait
si bien!

Cela dit, j'aime aussi les jolies
culottes.
Enfin, ce debat est tellement profond que
je vais le reprendre à tête reposée..



lunedì 24 novembre 2008

trend : il bacio


Originali, frivoli e coloratissimi:
abiti e accessori tempestati di
bocche infuocate sono da
sempre un ammaliante divertissement
stilistico!

Tutto ebbe origine dalla mente geniale di
Salvador Dalì, che nel 1937 creò un
divano
in legno e satin seguendo la linea delle labbra
dell’attrice Mae West; in seguito, nei grintosi Anni ‘80 lo stravagante telefono versione red lips divenne un vero must have dell’arredamento, ricercatissimo ancora oggi da tutti i collezionisti.

Io trovo questo mood irresistibile!

domenica 23 novembre 2008

Maria Sharapova, la più bella



























Maria Sharapova è probabilmente la tennista più bella del mondo, sicuramente la più glamour e quella che cura con più attenzione anche la sua immagine fuori dal campo.

Ma questo non vuol dire che valga poco nelle competizioni ad altissimo livello. Anzi.

Il 2008 lo chiude in nona posizione.
Inoltre la Sharapova è stata la prima tennista della storia a vincere a Winmbledon e a raggiungere la prima posizione nella classifica del WTA.






la buona musica per fare l'amore?


Dipende dal momento..
Anche voi avete una
compilation pronta all'uso in caso di serata a due con probabili
risvolti piccanti?
Una compilation adatta a creare
l'atmosfera migliore,a seconda dei gusti in materia, non solo musicale, per una lista di canzoni adatte a riscaldare l'ambiente.
Nel commercio, l'ultimo tentativo di compilation "da letto", é quello di una star del cinema hard, Rocco Siffredi, con la sua Sexy, Personal Selection, scaletta di canzoni pop pescate dagli ultimi vent'anni di musica, pubblicate da una major del disco e giudicate adatte all'uso dal "critico musicale" in prestito dal cinema.
Tra le tante selezionate, Sweet Harmony dei Beloved, Horny 98 di Mousse T, passando per Donna Summer, Lil' Louis e altri personaggi e brani più o meno azzeccati, a seconda delle preferenze.
Ma si sa, non per tutti la canzone giusta nel momento giusto, può essere la stessa.
Per un amplesso fugace,Justify My Love (Madonna)
Era nel pieno del momento più conturbate della sua carriera, quella Madonna in versione latex, pizzi e mascherina, piglio ambiguo e parole sussurrate da far rabbrividire, non dalla paura, s’intende. È la "fase sex" di lady Ciccone, la stessa che fa capolino nell’album Erotica e nel libro fotografico Sex. Il video della canzone è stato censurato in ogni dove. GUARDA IL VIDEO

Per un amplesso Hi Tech : Sex Object (Kraftwerk)“I don't want to be your sex object”, dicono gli ultra-tecnologici Kraftwerk, con la loro elettronica sofisticata, tra atmosfere industriali, sintetizzatori, ritmi meccanici e continui e quant’altro.
Ma l’avranno pensata veramente così? O piuttosto, il messaggio nel titolo avrà avuto diverse interpretazioni possibili. Agli sperimentatori, la risposta.

Per un amplesso dark : Rid Of Me (PJ Harvey) “Lick my legs, I'm on fire, Lick my legs of desire… I'll tie your legs , keep you against my chest”, grida la misteriosa, quanto diretta e parecchio furiosa PJ Harvey, nel suo microfono, sulle note scandite e simmetriche di Rid Of Me. Magari non saranno note adatte per i romantici-a tutti i costi, ma si sa, non sempre la canzone giusta è quella più “pulita”. GUARDA IL VIDEO
Per l'amplesso democratico : Everybody Here Wants You (Jeff Buckley)
Questo nome può mettere d’accordo tradizionalisti e sperimentatori, romantici incalliti e rocker-lovers.
Jeff Buckley è praticamente una garanzia. Che si tratti di Everybody Here Wants You, ballatona da luci soffuse per sua natura dall’inizio alla fine, o della più elettrica So Real, con i suoi cambiamenti d’umore e finale in crescendo, l’atmosfera è assicurata in entrambi i casi.
Per l'amplesso sanguigno : I Feel You (Depeche Mode)
In una compilation a tema che si rispetti, un posto assicurato anche per i Depeche Mode, con le loro atmosfere rarefatte, scure, ritmiche contagiose in puro formato decibel. I Feel You. “I feel you, your precious soul, I feel you and I am whole, I feel you, your rising sun, my kingdom comes”. E se lo dice Dave Gahan… perché non dargli credito?GUARDA IL VIDEO
E per l'amplesso trasgressivo : Roxanne (George Michael)
La cantavano i Police, poi George Michael ne ha fatto una cover jazzy e l’atmosfera si è fatta decisamente più calda.
La storia non è delle più felici, ma se in certe situazioni, l’atmosfera conta più delle parole, la cover può fare la sua bella figura.GUARDA IL VIDEO
Io scelgo Madonna, Depeche Mode e George Michael..e voi?

mercoledì 19 novembre 2008

Una canzone inedita dei Beatles!


Paul McCartney vorrebbe lanciare un brano inedito registrato
in passato dai Beatles.
Durante un’intervista rilasciata alla BBC Radio 4,
Paul ha rivelato di voler pubblicare una canzone
dei Beatles sconosciuta al pubblico,
informa la rivista RollingStone.
Carnaval of Light è un brano musicale
che dura 14 minuti, improvvisato e registrato
dalla band nel 1967, una canzone messa in disparte
durante la realizzazione dell’album Anthology,
perché ritenuta troppo sconsiderata.
Secondo Paul adesso è venuto il momento di rendere pubblico questo brano, il cantante ha quindi l’intenzione di chiedere il permesso a Ringo Starr e alle mogli di John Lennon e di George Harrison, per poter concretizzare questo suo progetto.
Il musicista ha dichiarato: «Amo questo pezzo perché si tratta di un momento in cui i Beatles si sentivano liberi.»

Dior a Pechino


Christian Dior
sbarca a Pechino:
è iniziata infatti l’esposizione
Christian Dior & Chinese Artists,
in mostra all
fino al 15 gennaio 2009.

L’obiettivo?
Stabilire un contatto fra due universi poliedrici e affascinanti come l’arte contemporanea e la moda francese rappresentata da Dior, che in quest’occasione diventa fonte d’ispirazione per le opere di celebri artisti cinesi.
Così, più di venti quadri verranno esposti con i relativi disegni e modelli di Monsieur Dior, John Galliano, Kris Van Assche per Dior Homme e Victoire de Castellane per la Haute Joaillerie.

Poco dopo il suo sessantesimo anniversario, questa Maison storica mostra così la sua capacità di reinventarsi nella contemporaneità di un’altra cultura.

Buon compleanno Hello Kitty!


お誕生日おめでとう -
Otanjoubi omedetou:
Buon Compleanno Hello Kitty!

Sembra un cucciolo, ma la micina
più trendy del pianeta è già una
donna: questo mese spegnerà
33 candeline! Inizialmente
battezzata Kitty White,
alias uno dei gatti del libro
Attraverso lo specchio e quel
che Alice vi trovò di
Lewis Carroll,
si converte presto nel più
smart Hello Kitty.
Questa è la traduzione non letterale
di maneki neko,
il gatto del benvenuto (sì, proprio
quello che vedi fare “ciao ciao”
con la zampina accanto
ai registratori di cassa del tuo sushi bar preferito!), personaggio che ne fu principale fonte di ispirazione.

Capostipite dello stile kawaii, la cultura pop made in Japan tutta-faccette-e-occhi-da-bambi, Hello Kitty è l'icona dello stile kidult e non solo, nonché (colpo di scena!) per ben due volte ambasciatrice Unicef.


Novembre 1975: Shintaro Tsuji, presidente della Sanrio co. Ltd, azienda giapponese leader nella creazione di personaggi per la tv e la relativa commercializzazione, incarica i suoi collaboratori di dare vita a un nuovo character.
Nasce così, dalla mano di Yuko Yamaguch, Hello Kitty.

venerdì 14 novembre 2008

Lee Miller, la fotografa dai mille volti


Lee Miller a Parigi
Più di 140 opere allo Jeu de Paume dal 21 ottobre 2008 al 4 gennaio 2009 per tracciare il profilo di Lee Miller.


Lee Miller (1907-1977) è stata molte donne in una vita sola.

Americana, da giovanissima posa come modella prima per suo padre e dal 1927 per l'ambitissimo Vogue, diventando simbolo della liberazione della donna e musa di fotografi come Steichen, Man Ray, Horst P. Horst, and Hoyningen-Huene.

È proprio Steichen che la ispira a iniziare una carriera dietro l'obiettivo e che la raccomanda a Man Ray.

Nel 1929 Lee Miller si trasferisce a Parigi, dove diventa sua assistente, modella e compagna e si innamora della città e della fotografia.

Entra nel circolo dei grandi artisti: Max Ernst, Pablo Ricasso, Jean Cocteau, Paul Eluard, René Magritte, Joan Mirò.

Lasciato Man Ray, torna a New York dove fonda con suo fratello il Lee Miller Studio.

Si trasferisce in Cairo nel 1934 in seguito al matrimonio con Aziz Eloui Bey, facoltoso egiziano.

Nel 1939 lo lascia e ritorna a Parigi, dove inizia una relazione con il pittore inglese surrealista Roland Penrose, che seguirà a Londra.

È ormai nota fotografa e pubblica su Vogue America, Inghilterra e Francia.

Nel 1942 diventa corrispondente di guerra per l'esercito degli Stati Uniti per Vogue Inghilterra. Documenta la liberazione di Parigi, la battaglia di Saint-Malo, la caduta del Terzo Reich, la liberazione dai campi di concentramento.

La mostra al Jeu de Paume, che comprende 140 immagini, disegni, collage e uno spezzone di Le Sang du poète (1931) di Jean Cocteau, racconta in fondo la vita di questa grandissima artista che ancor prima che fotografa è stata donna d'avanguardia.

The Art of Lee Miller 21 Ottobre 2008-4 Gennaio 2009 Museo Jeu de Paume, sede Concorde, Parigi http://www.jeudepaume.org/

martedì 4 novembre 2008

Turismo sessuale in repubblica Cecoslovacca


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Un petit village déclare la guerre au tourisme sexuel
La prostitution est légale en Allemagne, mais certains hommes préfèrent traverser la frontière pour aller en République tchèque où les filles sont bon marché.

Les autorités locales ont décidé de s’attaquer à ce tourisme sexuel.


Chaque soir, les voitures en provenance de Bavière et de Saxe avancent lentement le long de la rue principale de Komotau, une petite ville tchèque située à quelques kilomètres de la frontière avec l'Allemagne.

Le long de la route, des dizaines de femmes et de jeunes filles qui attendent le client dès la nuit tombée et offrent leur service à des prix défiant toute concurrence. Dans cette région frontalière, 80% des touristes sexuels sont des Allemands qui font l'aller-retour entre les deux pays pour se payer un cinq à sept avec une prostituée.Mais la passe de l'autre côté de la frontière, en toute discrétion, c'est du passé.

Du moins à Komotau.

La municipalité a installé des caméras de surveillance dans le centre-ville et publie depuis une semaine les photos des véhicules qui embarquent des prostituées sur son site internet.

Sur les clichés, les plaques d'immatriculation sont floutées, mais un tirage est également envoyé à l'adresse allemande des conducteurs.

L'adjoint au maire de Komotau, Jan Rehak, espère que cette mesure aura un effet dissuasif, même si l'anonymat du client est préservé.Depuis la chute du Mur en 1989, le problème de la prostitution frontalière ne fait qu'augmenter. Et avec elle, la traite des femmes.

La majorité des prostituées qui font le tapin à Komotau et dans les autres villages de la région sont originaires de Moldavie, d'Ukraine ou du Brésil. Attirées en République tchèque par la promesse d'un emploi, elles y sont réduites à l'état d'esclaves sexuelles.

La nonna di Obama é morta


La grand-mère maternelle de Barack Obama est décédée d'un cancer à l'âge de 86 ans à Hawaï, a annoncé lundi le candidat démocrate à l'élection présidentielle américaine.

Dans un communiqué publié avec sa sœur, Maya Soetoro-Ng, le sénateur de l'Illinois annonce: "C'est avec une grande tristesse que nous annonçons la mort de notre grand-mère, Madelyn Dunham, qui s'est éteinte paisiblement au terme d'un combat contre un cancer.

"Elle était la clé de voûte de notre famille ainsi qu'une femme d'une force, d'une exemplarité et d'une humilité extraordinaires".

Obama, né d'un père kényan et d'une Américaine blanche, avait interrompu les 22 et 23 octobre sa campagne électorale pour se rendre par avion au chevet de sa grand-mère à Hawaï.

Cette dernière avait élevé le jeune Barack à partir de l'âge de dix ans lorsque sa mère était partie travailler en Indonésie.

"Notre famille souhaite remercier tous ceux qui ont envoyé des fleurs, des cartes de voeux et des prières pendant cette période difficile. (...) Notre grand-mère était quelqu'un de réservé et nous respecterons son voeu d'organiser une petite cérémonie privée à une date ultérieure", a ajouté le candidat démocrate dans son communiqué.

Madelyn Dunham, qu'Obama appelait affectueusement "Toot" (diminutif de "tutu", qui veut dire "grand-mère" en hawaïen), avait suivi la candidature de son petit-fils avec beaucoup d'intérêt.


"Sacrifiée pour moi"

Elle s'était fracturée la hanche en octobre et à l'époque, Obama avait expliqué qu'il ne voulait pas répéter l'erreur qu'il avait faite avec sa mère, décédée d'un cancer avant qu'il ait pu venir à son chevet.
En se rendant sur l'île de son enfance, il avait ainsi dévoilé un aspect de sa vie privée qui ne le desservira pas forcément après avoir été attaqué sans relâche par le camp républicain sur son patriotisme, sa religion ou son parcours.

Le sénateur métis de l'Illinois évoque souvent dans ses discours ses deux grands-parents maternels.

Le grand-père avait combattu lors de la Seconde Guerre mondiale pendant que sa grand-mère travaillait sur une chaîne de fabrication d'obus.
Après avoir donné naissance à la mère d'Obama au Kansas, le couple s'était installé à Hawaï, où Madelyn Dunham était devenue vice-présidente d'une banque.
"C'est elle qui m'a appris à travailler dur", avait lancé Obama à la tribune de la convention démocrate de Denver, en acceptant sa nomination comme candidat. "Elle est celle qui a remis à plus tard l'achat d'une nouvelle voiture ou d'une nouvelle robe pour que j'aie une meilleure vie."

Mais Obama avait aussi évoqué sa grand-mère blanche de façon plus crue, après la controverse provoquée en mars par les discours enflammés de son ancien pasteur, le révérend noir Jeremiah Wright, contre les Blancs américains.

"Je ne peux pas le désavouer tout comme je ne peux pas désavouer ma grand-mère blanche, une femme qui m'a élevé, une femme qui s'est sacrifiée jour après jour pour moi, une femme qui m'aime plus que tout au monde, mais une femme qui m'a avoué un jour sa peur des hommes noirs qui passaient dans la rue devant chez elle, et qui en plusieurs occasions a exprimé des préjugés racistes ou ethniques qui m'ont fait honte."

Chicago, patria di Obama


Obama a lancé sa carrière politique à Chicago, une ville qui ne fait pas de cadeaux aux nouveaux venus.

Mais s’il a été adopté par l’élite démocrate, le système politique corrompu de la ville pourrait jeter une ombre sur le candidat.

C'est en 1991 que Barack Obama, alors âgé de 30 ans, fit de Chicago sa ville de résidence.

Après trois décennies de pérégrinations à travers le pays - entre Hawaï, New York, Chicago et Boston - après une enfance en Indonésie, ce fils d'une mère native du Kansas et d'un père kenyan posa ses bagages dans la célèbre “Windy City”, la ville balayée par les vents.

Située sur la rive sud-ouest du lac Michigan dans l'Etat de l'Illinois, Chicago a accueilli de nombreuses vagues d'immigrants, des Afro-Américains fuyant le sud rural aux Irlandais fuyant la famine, sans parler des Polonais, Allemands, Grecs, suivis par les Mexicains, Chinois et immigrés d'Asie du Sud-Est - pour en énumérer brièvement quelques-uns.

Au recensement de l'an 2000, presque 3% des deux millions de résidents de Chicago répondaient qu'ils étaient d'origine multiethnique, se trouvant des ancêtres issus de deux ou trois origines différentes.

Pour un jeune home ambitieux, métis, cherchant à prendre racine quelque part, Chicago semblait être le lieu idéal.

Cette métropole où la classe moyenne est majoritaire est la ville où Obama a forgé son identité personnelle et politique. C'est la ville où il a rencontré son épouse, Michelle, où il a élevé ses deux filles et où il a lancé sa fulgurante carrière politique depuis les quartiers sensibles du sud de la ville.

Et en y regardant de près, Chicago est fière d'être la patrie du premier candidat noir à l'élection présidentielle américaine. Quelques jours avant l'élection du 4 novembre, cette ville gigantesque, connue pour son architecture iconoclaste et monumentale, s'est transformée en un véritable sanctuaire en l'honneur d'Obama.

Bienvenue à "la machine"

Dans les rues, les voitures aux pare-chocs couverts d'autocollants Obama 08 slaloment dans le trafic, passant en trombe devant les magasins de sport vendant des t-shirts Obama et devant les maisons pavillonnaires bordées de leur jardin coquet planté d'affichettes Obama-Biden.

Si Chicago a été reconnaissante envers Obama, le candidat démocrate, d'une certaine façon, a également fait preuve de reconnaissance envers Chicago.

Dans cette course à la Maison Blanche où tous les records d'audience ont été battus, le candidat démocrate a progressivement fait glisser le centre nerveux du comité national démocrate de Washington à Chicago. Le quartier général de sa campagne se trouve au Loop, quartier d'affaires du centre-ville de Chicago. Et le 4 novembre, le résident le plus célèbre de Chicago achèvera sa campagne présidentielle historique à Grant Park, le gigantesque parc de la ville, bordé par le lac Michigan et les légendaires tours qui barrent l'horizon.

Mais Chicago a également des côtés cachés qui ont failli mettre à mal l'image présidentielle d'Obama. Aux Etats-Unis, on l’appelle simplement "la machine de Chicago". Dans cette ville traditionnellement démocrate, le terme renvoie à un système politique corrompu basé sur le népotisme et le clientélisme. La "machine" fait référence à un groupe de travailleurs du parti sur lesquels on pouvait compter pour apporter des voix à l'homme fort ou le "boss".

C'est ce côté obscur de la vie politique de Chicago que le rival d'Obama, John McCain, a tenté d'exploiter il y a quelques semaines quand son équipe de campagne a diffusé une publicité télévisée faisant le lien entre Obama et la machine démocrate de Chicago.

Cette vidéo de 30 secondes accuse le sénateur de l'Illinois d'avoir été "enfanté par la machine corruptrice de Chicago" avant de poser des questions sur ses liens avec quatre personnalités douteuses de Chicago, dont Tony Rezko, un ancien collecteur de fonds qui a déjà été condamné par la justice. "Avec des amis comme ceux-là, conclut la publicité, Obama n'est pas prêt à diriger le pays."


Le conte des deux Daley

Chicago n'est pas la seule ville aux Etats-Unis qui possède de telles "machines politiques". A la fin du XIXe et au début du XXe siècle, la plupart des villes américaines étaient sous la coupe de machines politiques.

Mais sous le règne du maire démocrate Richard J. Daley - ou "Daley Senior", comme il est appelé - la ville balayée par les vents a donné plus de poids à cette machine politique.

Décrit comme "le dernier des grands parrains", Daley Senior a contrôlé la vie politique de la ville, dominée par le parti démocrate, de 1955 jusqu'à sa mort en 1976.Aujourd'hui, des contrôles électoraux plus étroits ainsi que le poids des médias ont mis un point final à cette histoire de la machine. Les experts remarquent que les candidats ne peuvent plus se fier uniquement à la loyauté systématique au Parti. Ils doivent relancer directement les électeurs - via les médias.

Mais bien que la période du vieux système de la machine soit achevée, quelques experts de la vie politique de Chicago pensent que ce vieux système politique s'est paré d'un nouveau costume plus chic. Dans la ville, ils l'appellent "le clientélisme bobo"."Actuellement, nous avons un nouveau maire Daley à Chicago" dit Dick Simpson, chef du département des sciences politiques de l'université de l'Illinois, Chicago, faisant référence à l'actuel maire Richard M. Daley, le fils le plus âgé de Daley Senior.Daley Junior - surnom de l'actuel maire - a été réélu cinq fois depuis 1989, longévité remarquable qui va le mener à surpasser le record de son père en tant que maire ayant le plus longtemps servi à la tête de la ville.Mais, bien que reconnaissant que le "nouveau Daley" ne tire pas les ficelles de la machine politique traditionnelle, Simpson remarque que l'actuel maire de Chicago "utilise les contributions des milieux économiques en contrepartie desquelles des contrats lucratifs du gouvernement et autres faveurs économiques sont donnés à des sociétés et supporters de sa campagne".La ville des rivalités politiquesLes habitants de Chicago sont au courant de la réputation sulfureuse de leur ville. La "ville aux larges épaules" - comme elle a été appelée parfois - a été, après tout, la ville d'Al Capone. Elle a également inspiré la comédie musicale "Chicago", une des plus féroces satires sur le crime, la corruption, et les "criminels vedettes".Ce qu'ils ont du mal à croire, c'est qu'Obama ait été impliqué dans la machine de Chicago. "Obama n'a jamais fait partie de cette machine démocrate", souligne Eric Klinenberg, un professeur de sociologie à l'université de New York et auteur du livre "Vague de chaleur : autopsie sociale d'un désastre à Chicago". "Et de le cataloguer comme un membre de la machine démocrate est un jugement erroné sur les capacités d'Obama."

Simpson remarque que lors des primaires démocrates pour la nomination à la course au Sénat, le maire Daley n'avait pas soutenu Obama. Malgré cela, ce dernier est parvenu à gagner les primaires ainsi que l'élection générale de novembre 2004, faisant de lui l'un des deux sénateurs de l'Illinois.

En outre, Simpson souligne que les racines politiques d'Obama s'enfoncent dans les sillons creusés par les "Indépendants", un groupe de politiciens, activistes et intellectuels opposés à l'hégémonie des Daley.

En tant que membre éminent des Indépendants, qui a travaillé sous deux mandats au sein de l'administration de la ville, Simpson remarque qu'Obama n’a guère reçu le soutien de l'oligarchie politique de la ville au début de sa carrière.

Mais il reconnaît tout de même que la vieille garde a fini par adopter le sénateur charismatique des quartiers sud.

Ce parcours d’outsider rehausse la réussite spectaculaire d'Obama, dans une ville qui n'a pas été traditionnellement généreuse aux débutants en politique.

"Chicago est une ville très difficile à infiltrer pour un politicien, dit Klinenberg. Le fait qu'Obama, qui n'a pas grandi dans ces quartiers, a été capable de se construire une carrière ici, est quelque chose de tout simplement remarquable."