giovedì 5 maggio 2016

Le mysterieux Chateau de la Juive de Besançon


Le château de Clementigney, plus connu sous le nom de château de la Juive est l'une des plus remarquables demeures particulières de Besançon (Bourgogne-Franche-Comté). 
Il est situé sur la commune limitrophe de Chalezeule, sur le bout du mont de Brégille. 

Le bâtiment de base a été construit à une date inconnue, mais les premières traces à son sujet remontent à la fin du XVIIIe siècle, avant que la puissante famille juive Lippman n'en devienne propriétaire. 
Une de leurs descendantes, Léonie Allegri, demande à l'architecte franc-comtois Alphonse Delacroix de la transformer en un véritable château.
Entre 1850 et 1870, il donne naissance au bâtiment tel qu'on le connait aujourd'hui, avec son style gothique et son échauguette caractéristique.

Le dynamisme de la propriétaire donne à la demeure son surnom toujours actuel, le « château de la Juive ». 
Par la suite, l'édifice change de main et devient un hôtel-restaurant réputé pour sa gastronomie de qualité et ses décors remarquables, gagnant une réputation nationale et attirant plusieurs célébrités comme Georges Bidault, Tino Rossi, Marie-José de Belgique ou encore Johnny Hallyday
Des spécialités franc-comtoises typiques y sont servies, comme la saucisse de Morteau ou la truite au vin jaune et morilles. 


L'écrivain Guy des Cars y séjourne à demeure en 1956, pour écrire son roman intitulé Le Château de la Juive, inspiré par ce lieu. 
Louis Néel y apprend son obtention du prix Nobel de physique en octobre 1970.
Cependant, cette vocation se termine au début des années 2000, lorsque le dernier chef cuisinier meurt, le château retrouvant, depuis lors, une fonction purement résidentielle.


Le décor intérieur est dominé par des boiseries néo-gothiques, mais des modifications et ajouts ont été pratiqués durant les années 1950. 
Le mobilier du comte de Turenne, qui avait été éparpillé à la suite d'une vente aux enchères, a complètement disparu, à l'exception d'une pièce : la salle de réception. 

Les fenêtres à vitraux du Second Empire, les murs et plafonds de boiseries comprenant de petits carreaux polychromes de céramique - dont chacun arbore une grappe de raisin noir et deux épis de blés entourés de l'inscription « à la Dame de Clementigney » - témoignent de l'élégance des décors de l'époque. 

Une anecdote rapporte qu'un Américain de passage, séduit par le raffinement de cette pièce, a voulu racheter l'ensemble des éléments transportables, pour deux millions de francs.
Un passage du journal de Bregille, d'avril 1982, décrit précisément le château de la Juive, reprenant le témoignage de la vie quotidienne de Léonie Allegri dans sa demeure. 

Ainsi, on y apprend une multitude de détails, comme l'existence d'un escalier en chêne, le fait que les couloirs aux riches lambris dissimulaient des placards secrets, ou encore la description de sa chambre : elle contenait un lit à baldaquin soutenu par des colonnes torsadées, des murs aux lambris rouges et bleu roi, et un plafond bleu ciel tapissé d'étoiles. 

On apprend aussi qu'était présente une grande cheminée sculptée, recouverte de faïences bleues et blanches, et que les cabinets comportant des vitraux blancs transparents étaient situés dans l'échauguette. 

Quant à la salle de bain, située au troisième étage, il fallait, pour l'utiliser, monter l'eau seau après seau et la chauffer à l'aide d'un chauffe-eau en cuivre, fonctionnant avec un serpentin envoyant le liquide dans une baignoire également en cuivre, ne comportant pas de système d'écoulement. 

Des faïences, reprenant les motifs du mur de la salle de réception, trônaient dans le bâtiment, offertes par un peintre italien. 

Une fois remariée, Léonie Allegri fut confrontée aux infidélités de son époux, le comte de Turenne, dont la rumeur rapporte qu'il facilitait la fuite de ses maîtresses par l'escalier de la tour, alors renommée Felice, ainsi que par des portes secrètes cachées dans les lambris.
Il fit également apposer ses armes sur les grilles du château, et fit sculpter son portrait et celui de Léonie sur la cheminée de la chambre de son épouse. 
Les vignes, encore bien vivaces juste avant la Grande guerre, disparurent avec le décès de leur propriétaire, Léonie, en 1914.




Voici un tres bon resumè fait par une blogueuse "Lili Galipette" du roman de Guy des Cars "Le Chateau de la juive" 
Lors d’un voyage à Tel-Aviv, l’auteur a rencontré l’héroïne du roman. 
Pendant toute une nuit, elle accepte de lui raconter son histoire.

Eva Goldski a été arrachée très tôt à son pays. De camp d’internement en camp de déportation, elle est devenue apatride. Quand elle attire le regard d’Éric de Maubert, comte jurassien et officier français, elle sait qu’elle tient sa chance. 
 Enfin, elle sera riche, elle connaîtra la sécurité et elle pourra se venger d’avoir dû se courber devant plus fort qu’elle.

Hélas, le prince charmant n’est pas si riche qu’il semblait et le château n’est finalement qu’une gentilhommière un peu cossue qui menace ruine. Ne reste du prestige de la Tilleraye qu’un souvenir et des espoirs déçus.  
« Eva, comme tous ceux qui n’ont jamais rien possédé et qui n’ont connu que le dénuement total, avait une soif inextinguible de luxe… Un certain luxe qui ne pouvait se traduire, pour une échappée des camps, que par un confort ultra-moderne et des éclairages tapageurs. Comment, elle qui ne l’avait pas connu, aurait-elle pu goûter la grandeur nostalgique d’un Passé ? » (p. 57)

L’accueil réservé par Adélaïde, la mère d’Éric, est bien loin d’être chaleureux pour cette fille pauvre, sans lignée et juive. 
Or, la jeune épouse est bien décidée à faire valoir ses droits et à s’imposer sur le domaine. « Eva attaquerait de toute sa jeunesse douloureuse, Adélaïde se défendrait de toute son expérience tyrannique. » (p. 51) Séduisante, très intelligente et dotée d’un fort instinct de conservation, Eva sait nouer des relations intéressées et faire rentrer l’argent nécessaire à la rénovation du château et à un train de vie très élevé. Et surtout, Eva se constitue un trésor personnel : elle a trop manqué pour prendre le risque de ne rien avoir. Et tant pis si les paysans parlent dans son dos et si l’aristocratie locale répugne à visiter le château de la Juive : Eva est enfin à l’abri du besoin. Hélas, sa soif de possession la perdra.

Et Éric dans tout ça ? Fou amoureux de sa femme, complètement sous son emprise, il est bien incapable de percer à jour cette femme vénale et manipulatrice. « Pauvre Éric de Maubert qui n’avait jamais très bien compris Adélaïde et qui ne connaîtrait sans doute pas la véritable Eva ! » (p. 172) Mari cocu, mené par le bout du nez, il est le parfait dindon de la farce. Jusqu’à ce qu’une énième manipulation d’Eva échoue.


Ma cos'è la sindrome di WANDERLUST ?



In sociologia Wanderlust significa desiderio di viaggiare, di fare nuove esperienze, di vedere nuovi posti e vivere la libertà e l'emozione di essere stranieri.
Tolkien diceva "Not all those who wander are lost"

(Non tutti quelli che vagano sono persi) e mai frase può essere più adatta.


La Sindrome di Wanderlust è la voglia irrefrenabile di viaggiare generata da una grande curiosità rispetto al mondo che ci circonda.

Ci sono qualità speciali del "vagabondo" o del "sognatore" che hanno un posto speciale nel mondo. 
Sono quelli che scoprono l'unico, il nuovo e quello che alla maggior parte delle persone, passa inosservato.

Sono quelli che viaggiano in tutto il mondo, senza un vero motivo, solo per seguire gli impulsi e per alleviare l'inquietudine . 

Vedono la vita in un altro modo, un modo che migliora le esperienze alla ricerca di una vita "sognata" e giustifica la casualità. 



Sognano di libri che non sono stati scritti, di città ancora da scoprire e incitano l'entourage a cercare, come loro, l'avventura e originalità. 
In un mondo dove è facile stigmatizzare le tendenze delle persone, il "vagabondo" spesso ha una una cattiva reputazione, visto spesso come sfuggente, scostante e irregolare. Invece si tratta solo di sognatori irrequieti, che non saranno soddisfatti se non dopo aver esplorato nuovi territori e conosciuto nuove persone



Dunque  la “Sindrome di Wanderlust” si riconosce molto facilmente, poiché è caratterizzata dalla “necessità”, dal bisogno - da parte della persona - di viaggiare, di esplorare posti nuovi, di fare le valigie e prendere un aereo per andare da qualche parte nel mondo.


Non si tratta di una semplice vacanza estiva, ma di un vero e proprio bisogno di mettersi in viaggio. 
La stessa parola deriva dal tedesco "wander" (desiderio), e "lust", (girovagare).


La “Sindrome di Wanderlust” è  identificabile attraverso alcuni chiari segnali. 
Fra questi, ad esempio, il fatto che, chi è affetto da questa particolare sindrome – che a quanto sembra sarebbe collegata al recettore della dopamina D4 (DRD4 7r), il "gene del viaggio" che si trova in circa il 20% della popolazione mondiale – avrebbe sempre a portata di mano uno zaino o un trolley, pronto per partire per un nuovo viaggio.

Inoltre, i cosiddetti “wanderluster” hanno sempre a portata di mano itinerari, mappe, siti di viaggi e di compagnie aeree e quant’altro, per organizzare per bene i propri viaggi.

Secondo quanto emerso da uno studio condotto dai membri del National Geographic, proprio il DRD4 sarebbe presente nelle persone maggiormente propense a correre dei rischi, quelle che amano provare nuovi cibi, intrecciare nuove relazioni e nuove avventure. 





 

domenica 1 maggio 2016

Favoloso percorso nel Metro' d'Arte di Napoli

La fermata Toledo della metropolitana di Napoli è una delle più profonde della città, costruita a 50 metri sottoterra.

Inaugurata nel 2012, è caratterizzata dalla maestosa. ''Light Panels'', un’opera d’arte del designer Robert Wilson, che illumina i corridoi della stazione con i temi della luce e dell’acqua dando vita ad un incredibile paesaggio acquatico



A Napoli esistono 2 linee omologate di metropolitana 
(la linea 1, detta anche "Metrò dell'Arte" e la  linea 6) che collegano il centro con i quartieri "alti" della città, fino a raggiungere la zona periferica;
- la storica linea 2, omologata come "passante ferroviario" gestito da Trenitalia, che collega la Stazione Centrale con diverse zone della città fino al porto;
- 4 linee di funicolare che collegano la zona collinare con il centro cittadino, fino ad un'ultima riammodernata linea tranviaria, che congiunge il centro con la periferia orientale di Napoli.



Le stazioni dell'arte nascono da un progetto elaborato nel 1995 dal comune di Napoli nell'ambito della costruzione e del potenziamento del proprio sistema di trasporto sotterraneo.

Le stazioni dell'arte sono un complesso artistico-funzionale, composto da fermate della metropolitana di Napoli, in cui è stata prestata particolare attenzione a rendere gli ambienti belli, confortevoli ed efficienti. 


La finalità principale è di combinare la fruizione del trasporto pubblico con l'esposizione degli utenti all'arte contemporanea, allo scopo di favorirne la conoscenza e diffusione. 

La finalità secondaria è di riqualificare vaste aree del tessuto urbano e fungere da elemento motore per la realizzazione di nuove costruzioni che assumano il ruolo di luoghi focali della città di Napoli.


Le stazioni, distribuite lungo la linea 1 e 6 della rete, accolgono circa duecento opere d'arte realizzate da più di novanta autori di fama internazionale e da alcuni giovani architetti locali, elemento, questo, distintivo dell'intervento urbanistico-funzionale che ha avuto la diretta conseguenza di combinare nelle stazioni differenti stili artistici. 


Tale complesso urbanistico, tuttora in fase di espansione attraverso la costruzione di nuove stazioni, ha ricevuto numerosi riconoscimenti a livello internazionale. In particolare, il 30 novembre 2012, la stazione Toledo è stata premiata come la più impressionante d'Europa dal quotidiano The Daily Telegraph, mentre quella di Materdei è risultata al 13º posto. 
Il 4 febbraio 2014 la CNN ha eletto la stazione Toledo come la più bella d'Europa.


Inoltre la stazione Toledo della metropolitana di Napoli ha vinto il premio "International Tunnelling Association : Oscar delle opere in sotterraneo" (assegnato ad Hagerbach, vicino Zurigo), battendo due stazioni delle metropolitane di Sydney e Gerusalemme nella categoria "Uso innovativo degli spazi".
La stazione è stata realizzata su progetto dell'architetto catalano Oscar Tusquets Blanca


Inaugurata tre anni fa, è considerata una delle più belle al mondo per i giochi di luce creati dall'architetto spagnolo e per le opere che la caratterizzano come uno dei gioielli del "Metrò dell'arte" che ha ispirato la costruzione delle stazioni della rete metropolitana napoletana fin dalla sua apertura. 

All'interno della stazione, che attira l'attenzione di centinaia di turisti ogni giorno che si soffermano a fotografarla, ci sono diverse opere di grande impatto tra cui due grandi mosaici dell'artista inglese William Kentridge e realizzati dal mosaicista Costantino Aureliano Buccolieri
I motivi del riconoscimento, ritirato dall'Assessore ai Lavori Pubblici e Mobilità Mario Calabrese, sono da riassumersi nella utilizzazione di tecnologie innovative nelle fasi di scavo e perforazioni in particolari situazioni idrogeologiche (presenza di acqua di falda, profondità elevata del tracciato,) attraverso il congelamento dei terreni con azoto liquido e successive pratiche di perforazione con Know how all'uopo progettato. 


Anche alla luce dell'ulteriore successo conseguito dalla sua metropolitana la città di Napoli è candidata ad ospitare per l'anno 2019 il congresso annuale mondiale della ITA (International Tunnelling Association): la scelta della città ospite sarà formalizzato a San Francisco nell'aprile del 2016: Napoli è in concorrenza con Londra e Istanbul.




giovedì 31 marzo 2016

Il caffè sospeso è generoso come i napoletani !






Il caffè sospeso nasce a Napoli e conquista il mondo !
 



E’ un concetto sconosciuto nel resto del mondo, un’idea “nuova” tutta italiana, ma che sta affascinando molti: regalare un caffè a sconosciuti, per il dire che siamo felici.
 
Il « caffè sospeso» è un’usanza nata a Napoli durante la seconda guerra mondiale.
Per solidarietà in un momento critico della storia italiana, chi poteva pagava alla cassa il proprio caffè e ne aggiungeva un altro « da lasciare in sospeso », destinato a chiunque lo chiedesse.
 


Oggi, ancora una volta, viviamo un momento di profonda crisi, e l’idea è stata ripresa e diffusa in molte città italiane, anche grazie alla « Rete del caffe sospeso », nata nel 2010 per volere di fondatori quali il celebre « Caffè Gabrinus » di Napoli.
 
La provincia bergamasca ha un reddito procapite tra i più alti del Paese, ma in molti bar, si può regalare un caffè o un’intera colazione a chi ne ha bisogno (o, comunque, a chi la chiede).
 
Negli ultimi anni anni hanno aderito anche tre bar all’estero, uno in Spagna, uno in Svezia e uno in Brasile.
 
Esiste anche una giornata dedicata al caffe sospeso, il 10 dicembre, e l’idea ha valicato anche i confini dei bar: si fa in una pizzeria napoletana, e addirittura nei negozi di una catena di librerie, la Feltrinelli, che offre così ristoro gratis anche alla mente di chi è in difficoltà.
 
“Il caffè sospeso” è diventato l’orgoglio italiano negli Stati Uniti perchè la pratica è diventata una storia natalizia per il “New York Times”, che ha rivelato questa simpatica tradizione sottolineando la celebre gentilezza degli italiani.
 

Corby Kummer, forse il più famoso food writer degli Stati Uniti, ha ripreso la questione su “The Atlantic”, e ha addirittura lanciato una sfida alle grandi catene americane come Starbucks: le aziende – scrive – dovrebbero aggiungere una nuova voce ai registratori di cassa, per permettere ai clienti di pagare una certa somma per gli altri. 

“Forse entro il prossimo Natale saremo tutti abituati a usare parole nuove – ha concluso -, che non avremmo mai pensato di usare, ma il cui significato ci è piaciuto subito, come per esempio: « Pago anche un caffè sospeso »



domenica 31 gennaio 2016

Sophie Marceau aime un patissier, Cyril Lignac


Sophie Marceau et Cyril Lignac s'aiment ! (Selon Voici)



L'actrice âgée de 49 ans, et le cuisinier, âgé de 38 ans, seraient ensemble depuis une quinzaine de jours. 


Le cuisinier/patissier préféré des Français et l'actrice se sont notamment croisés à Cannes, lors du festival. 
Elle était membre du jury, lui chargé de régaler les convives de ses plats succulents. 

Mais l'histoire se serait accélérée ces dernières semaines. 
Le vendredi 22 janvier, Sophie Marceau a été vue arrivant chez Cyril Lignac, à Paris, en fin de journée, n'en ressortant que le lendemain matin...


Le lendemain, dans la soirée, le scénario se répète. 
Le dimanche, Cyril Lignac se rend cette fois chez Sophie Marceau, muni d'une galette des rois achetée dans une de ses boutiques, située dans Paris. 


Sauf que, selon Voici, surprise, le goûter ne se déroule pas uniquement entre les deux amoureux, mais également avec l'ex de Sophie Marceau, le réalisateur Jim Lemley, avec qui l'actrice a une petite fille âgée de 13 ans.



Juliette n'est pas le seul enfant de Sophie Marceau. 


L'actrice est également maman d'un garçon, Vincent, aujourd'hui âgé de 20 ans. Il est issu de sa liaison avec le réalisateur polonais Andrzej Zulawski, rencontré en 1981 au Festival de Cannes. 


L'actrice et le réalisateur, de 26 ans son aîné, commenceront leur liaison en 1984 et resteront ensemble durant 17 ans, avant de se séparer en 2001. 
Au cœur de cette séparation, le tournage de James Bond, Le monde ne suffit pas


Alors qu'elle tourne le film, en 1999, Sophie Marceau a une liaison avec le producteur Jim Lemley, avec qui elle a une fille. L'actrice et le réalisateur se séparent en 2007.




Cyril Lignac s'est fait connaître du grand public grâce à M6, où il a participé à Oui chef ! en 2005. 

Face à ce succès, il participe à plusieurs émission de la chaine, comme Top chef, ou encore Le meilleur pâtissier
La pâtisserie, c'est justement sa spécialité. 
En 2002, il a rejoint la pâtisserie de Pierre Hermé, avant de devenir sous-chef en pâtisserie auprès d'Alain Ducasse. Depuis son succès à la télévision, Cyril Lignac a pu ouvrir plusieurs restaurants. 
L'un, Le Quinzième, a une étoile Michelin. 

Il est également propriétaire de deux bistrots et de plusieurs pâtisseries, situées dans Paris.

domenica 10 gennaio 2016

Palazzo Parigi un luogo d'eccezione nel quartiere di Brera a Milano



Il Palazzo Parigi Hotel & Grand Spa è la destinazione da scegliere per vivere la Milano più sofisticata ed elegante.
 

Charme, lusso, alta cucina, suite spaziose nel centro della città più chic d'Italia.
 

Questo iconografico hotel si trova infatti nel cuore bohemien e cosmopolita della città – in Brera a due passi dal Quadrilatero della moda - e soprattutto, più che un albergo, si tratta di una vera galleria d’arte


Aperto nel 2013 dopo cinque anni di lavori, è il frutto del gusto e della felice intuizione dell’architetto Paola Giambelli – anche proprietaria dell’immobile - che ha rivalorizzato un’antica dimora nobiliare adibita ad austero complesso di edifici, chiamando a raccolta maestri del settore. 

Cominciando da Pierre-Yves Rochon: deus ex machina dell’interior design di alcuni dei più raffinati alberghi al mondo.

LO CHARME
Insieme hanno dato vita a un mix unico: un hotel in cui la maestosità dei palace francesi incontra la maestria della più rinomata tradizione artigianale italiana. 

Il risultato sono ampie e luminose sale arricchite da elementi decorativi che non passano inosservati anche all’occhio meno attento: i meravigliosi lampadari di Murano che accolgono nella lobby, lo scalone d’onore della hall e il colonnato che rievoca quello del Teatro alla Scala, o gli affreschi riportati alla grandeur di un tempo anche nella grande sala da ballo, un luogo d’altri tempi affacciato su un giardino secolare con statue del Seicento, tra i più belli della città.

 


LE CAMERE E LA SUITE DA SOGNO 
Una raffinata cura del dettaglio si nota negli spazi comuni così come nelle camere. 
Ce ne sono 65 e 33 le suite: una diversa dall’altra, pensate su misura perché ogni volta si possa scegliere tra quelle ispirate al più contemporaneo stile milanese o alla garbata allure parigina.

Chi voglia vivere un sogno in grande stile, può concedersi la Suite Presidenziale: 250 metri quadri all’ottavo piano, arredati con  opere d’arte nei saloni e nelle camere, boiserie in rovere, bagni in marmo e un terrazzo a tutto campo dal quale si gode un panorama memorabile sul Duomo, la cupola della Galleria Vittorio Emanuele e il Castello Sforzesco.
Un rifugio dotato di ogni comfort, pensato per chi soggiorna in città per lunghi periodi, ma anche per chi qui voglia trascorrere solo una notte davvero speciale.

Ci si può rilassare in totale privacy nell’hammam privato rivestito in mosaico di marmo, ma anche approfittare della cucina perfettamente attrezzata dove lo chef può preparare all’occorrenza cene molto romantiche o privatissime colazioni di lavoro; la camera congiunta si trasforma in una palestra personale oppure in una sala per riunioni dotata delle tecnologie più innovative.

L’ALTA CUCINA

 A Palazzo Parigi anche i luoghi del gusto sono sorprendenti. Il bistrot Caffè Parigi è ideale lungo l’arco dell’intera giornata: per eleganti  prime colazioni o pranzi di lavoro, all’ora del tè per assaggiare le miscele più pregiate.
Letteralmente spettacolare il ristorante gastronomico affacciato sul giardino privato. 



QUANDO PROVARE 

Subito, sempre, ogni volta che a Milano avete voglia di coccolarvi o vivere un’occasione speciale. 

Per informazioni o prenotazioni:reservations@palazzoparigi.com
Tel +39. 02. 625. 622. 22
www.palazzoparigi.com


sabato 9 gennaio 2016

L'affascinante storia della Bella Otero







Bruna, slanciata e sensuale, ballerina, mondana, cantante e perfino attrice La "Bella Otero" é l'ultimo mito della Belle Epoque.
Il suo vero nome é Augustina Iglesias (Valga, 4 novembre 1868Nizza, 10 aprile 1965)

Nata nella miseria in Galizia, figlia illegittima, stuprata da un giovane calzolaio all'età di 11 anni, fuggi' a Lisbona, in Portogallo, all'età di 14 anni con un ragazzo di nome Paco che lavorava in un circo e che l'inizio' alla danza e alla prostituzione.
Dopo Lisbona andarono a Barcellona, in Spagna.



Debuttò nel cabaret nel 1888 a Barcellona, trasferendosi subito dopo in Francia, dapprima a Marsiglia, e poi a Parigi dove divenne una stella delle Folies Bergère.


In pochi anni diventò una delle donne più celebri dell'intero continente, amante di molti uomini potenti e in vista dell'epoca, come il principe Alberto I di Monaco, il re grandEdoardo VII del Regno Unito, i reali di Serbia e di Spagna, i Granduchi di Russia, Pietro e Nicola Nikolaevič, o il celebre scrittore Gabriele D'Annunzio.


Nel 1890 fu protagonista di una trionfale tournée negli Stati Uniti e, di ritorno a Parigi due anni dopo era ormai la star indiscussa dei palcoscenici; si presentava in scena con abiti sontuosi e gioielli che ne esaltavano le forme a sostegno della sua fama di donna conturbante e fatale. 


Uno dei suoi più celebri costumi di scena prevedeva che le fossero incollate delle gemme preziose sul seno, e si disse anche che le cupole dell'Hotel Carlton di Cannes, costruito nel 1912, fossero state modellate sulla forma dei suoi seni



Nell'agosto 1898, a San Pietroburgo, l'operatore cinematografico francese Félix Mesguich (che lavorava per la compagnia dei Fratelli Lumière) filmò uno spezzone di un minuto che mostrava un numero di danza della Otero (sulle note del "Valse Brillante"), facendo di lei probabilmente «la prima stella della storia del cinema». 

Nel filmato compariva anche un ufficiale dell'esercito zarista, e quando venne proiettato al music-hall Aquarium, lo scandalo fu tale che Mesguich venne espulso dalla Russia.

Divenne molto amica della scrittrice Colette e della celebre ballerina della Belle Époque, Liane de Pougy, con la quale entrò in rivalità.


Terminata la prima guerra mondiale, la Otero si ritirò dalle scene, acquistò una proprietà con una sontuosa abitazione per un cifra equivalente a circa 15 milioni di dollari. 


L'attrice aveva accumulato negli anni, infatti, una cospicua fortuna che ammontava a circa 25 milioni di dollari, ma che consumò negli anni per sostenere uno stile di vista sofisticato e costoso e per soddisfare il suo gran vizio : il gioco nei Casino'.

Morì in uno stato di estrema povertà in Francia, nel 1965 all'età di 97 anni.