martedì 26 luglio 2016

Katia Astafieff, la petite blonde aventureuse

Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse 

Ce livre est un amusant carnet de voyage truffé d’anecdotes girly qui donne envie de prendre son sac à dos et partir, comme elle, a l'aventure au Vietnam, en Russie, en Chine, en Inde, en Mongolie, en Malaisie et Singapour, en Thaïlande et Cambodge, en Afrique, au Panama, ou pour les plus classiques  États-Unis et pays européens.
 

Le mot de l' éditeur :

Comment voyager dans le delta du Mékong sans être Duras ? Comment se faire des copines qui aiment Poutine ? Comment se débarrasser d’un Indien plus collant qu’un naan au fromage ? Comment passer pour une fille volcanique dans un cratère panaméen ? Comment camper dans le Connemara quand on a une cystite ? C’est à ces questions existentielles – que se pose toute voyageuse en solitaire – et à bien d’autres encore, que ce livre répond avec mordant et autodérision.
 

Qui est Katia Astafieff ? 

Née en Lorraine en 1975, biologiste de formation et spécialisée en communication scientifique et technique, l’écriture est devenue sa principale passion avec les voyages.
Ses voyages :

Les sommets du Ben Nevis, les sommets de l’ Ecosse, le Mont Emei en Chine, l’Atlas au Maroc, les Tatras en Slovaquie, les monts de Slovénie, des Vosges ou des Alpes, les Rocheuses canadiennes, les volcans islandais… 
Les vastes espaces du désert au Maroc, les steppes de Mongolie. 
Elle a découvert aussi les forêts de Sibérie , de Bornéo, les traversées des continents en train : le Canada par la Coast to Coast, de Moscou à Hong Kong.
Elle a découvert des villes mythiques, de New York à Kuala Lumpur, de San Francisco à Singapour, de Londres à Saint-Pétersbourg.
 



Son premier roman, "La Femme de l’ambassadeur", a été publié en 2015.
Son site web : katia-astafieff.fr

Un extrait

« Comment voyager seule… « Adna ? ! »
Telle était la question que me posaient sans cesse les femmes russes, incrédules, en découvrant que je voyageais seule. 
Seule pour parcourir quelque 12 000 km en train, de Moscou à Hong Kong. Sans raison apparente, si ce n’est pour le seul plaisir de voyager. 
Pour le lecteur non-russophone, je précise qu’adna signifie « toute seule ».
J’y avais droit plusieurs fois par jour. 
Adna par-ci, adna parlà… 
Adna à Moscou, adna dans le Transsibérien, adna à Iekaterinbourg ou adna sur les rives du lac Baïkal. 
À force, cela commençait à ressembler à du comique de répétition.
Mais les femmes russes ne sont pas les seules à m’avoir posé de multiples fois cette question. 
Il y a aussi les hommes indiens. Ils me regardaient comme une Martienne, une étrange créature venue d’un autre univers, moi, petit être blanc aux cheveux blonds. 
De leurs yeux noirs et pénétrants, ils me dévisageaient, me fixaient, me scrutaient pendant des minutes interminables.
Ceux qui parlaient anglais et qui disposaient d’un certain niveau de vie venaient me saluer, me souhaiter la bienvenue et éventuellement me prendre en photo. 
Je me trouve ainsi sur les clichés de nombreux illustres inconnus juste croisés dans la rue, qui souhaitaient immortaliser leur rencontre avec une petite blonde étrangère voyageant adna.
Mais les femmes russes et les hommes indiens ne sont pas les seuls à m’avoir demandé : « Vous voyagez… toute seule ? ! Et… vous n’avez pas peur ? » C’était aussi l’interrogation de filles mongoles à la frontière chinoise ou d’un couple de Canadiens dans un train entre Ottawa et Toronto.
En fait, c’est même en français que je l’ai entendu le plus fréquemment. 
Pour le non-baroudeur habitué aux vacances au Club Med ou au camping quatre étoiles, cela semble être une hérésie totale. 
Qu’une jeune femme, seule, parcourt le monde, pendant des mois, en dehors si possible des sentiers touristiques, est pour certains un objet de fascination, pour d’autres de suspicion.
Il y a la question du pourquoi, et il y a la question du comment. 
La principale interrogation reste cependant : « Et vous n’avez pas peur ? »
Comme si une femme seule était forcément une proie facile à échanger contre une poignée de chameaux, donner en offrande à quelques dieux ou manger toute crue comme un sushi. 
Pour les personnes qui ont l’habitude de voyager, c’est pourtant maintenant d’une banalité évidente. 
Les femmes parcourant le monde en solo ne sont plus forcément de grandes aventurières audacieuses risquant leurs vies pour dé- couvrir de nouveaux horizons. 
Tout a déjà été découvert ou presque.
Dans mon cas, même si j’ai l’âme aventureuse et que je ressens l’appel de la route, je ne suis pas une grande sportive. 
Je ne traverserai jamais l’Atlantique à la rame, je ne ferai jamais le tour du monde en ballon, je n’escaladerai jamais l’Everest, ni même le Mont Blanc.
Je n’ai gravi tout au plus que le Grand Ballon dans les Vosges et le Ben Nevis en Écosse –  ce dernier fait tout de même un peu rêver, avec son froid mordant et son épais brouillard, même si au final on atteint en quelques heures seulement son sommet à 1 330 m d’altitude.
On peut aisément faire le tour du monde toute seule, sans être la descendante directe d’Alexandra David-Neel
Et non, à ma grande déception, je ne suis pas une exploratrice d’exception. « 


Les autres livres de Katia Astafieff




lunedì 25 luglio 2016

Un bicchiere di Pietra in Corsica, a Propriano !



Che buona idea andare in Corsica, l'Ile de Beauté, l'isola 

profumata di mirto, di mare...

Andare a Propriano, al sud di Ajaccio, a godersi il sole al tavolino di un caffè, con un gelato, un caffè, un bicchiere di birra Pietra, la birra di castagne.. 

La bella cittadina di Propriano è situata sulla costa occidentale della Corsica, nella Corsica del Sud, fra la napoleonica Ajaccio e la splendida Bonifacio.



Propriano è una località balneare molto rinomata, dotata di una buona struttura alberghiera.
La regione di Propriano è ricca di magnifiche spiagge e calette di sabbia fine bagnate da un mare turchese.


Bel ricordo di un soggiorno in un hotel in riva al mare, direttamente sulla spiaggia dalla sabbia fine e bianca, con una vista magnifica e una camera spaziosa.



Propriano e la sua regione rappresentano il connubio perfetto tra il blu del mare,  le spiagge, le magnifiche cale e una natura verde selvaggia e lussureggiante.




La città di Propriano dispone di un porto commerciale gestito dalla Camera di Commercio e d' Industria di Ajaccio.

La località è dotata di un porto turistico e di pesca gestito dal comune, il Porto Valinco.
 
Inoltre a Propriano esiste un aerodromo ubicato sulla strada di Campomoro, adibito soprattutto ai collegamenti intra-insulari.
 
La regione del Valinco è  raggiungibile in aereo, partendo dagli aeroporti di Ajaccio e Figari, a circa 1 ora e mezza di volo da Propriano.

La storia di Propriano è piuttosto recente.

I suoi abitanti discendono da comunità greche, pisane e turche.
Come tutte le città corse, Propriano è stata oggetto di numerose invasioni, dei Vandali nel V secolo e dei Saraceni nell’VIII secolo.

La scoperta delle rovine di due chiese, di cui la più antica risale al VI o VIII secolo, è la  testimonianza di un processo di cristianizzazione molto avanzato in Corsica.

La chiesa più piccola venne costruita posteriormente in sostituzione di quella più antica. 
Le dimensioni della precedente (circa 16 metri di lunghezza per 8,5 metri di larghezza) lasciano supporre la presenza di una sede di diocesi e inoltre rivela l’esistenza di una necropoli risalente al IV secolo.


In epoche più recenti, la creazione, nel 1873, di una strada che collega Ajaccio a Bonifacio ha permesso lo sviluppo della cittadina di Propriano e l'espansione del porto.

Patrimonio culturale di Propriano :
La Chiesa Notre Dame de la Miséricorde (costruita en 1864 dall' architetto Hess), le 3 campane (1881), la statua della processione (1891)
La Cappella Sainte Marie (1860)
Il Sito Preistorico di Filitosa con statue e menhirs (80000 anni di età)
I Bagni di Caldane (20 minuti di distanza da Propriano) sito naturale privato di acque solforose dalle proprietà terapeutiche che sgorgano ad una temperatura di 38°C.
  
Per finire, a Propriano non si puo' passare oltre alla famosa gastronomia corsa !



Salumi (coppa, salame, prosciutto, figatelli,..) formaggi (bruccio, blu di Corsica, pecorino, tomma..), pietanze a base di carne, pesce o pollo, dolci tradizionali, bibite, vini, birre...tutto è divino!!



 
Propriano: Très ancienne place, recherchée pour l'abri naturel que constitue le rocher de Scoglio Longo.
Propriano témoigne encore de la présence grecque et romaine grace aux sépultures et vestiges que l'on trouve dans l'îlot de Poraja et aux environs de la ville.  
La Ville moderne à fleur d'eau se trouve  face à l'incomparable golfe de Valinco. 
La ville vieille est constituée du Hameau de Tivolaggio, groupé sur un contrefort granitique : quelques maisons anciennes, un vieux four, restes de moulin à vent.  

giovedì 21 luglio 2016

Le strade abitate dai ricchissimi


Quai d’Orleans (Parigi, Francia) 
Prezzo medio m2: 37.500 euro


Dove vivono i ricchi ? 
In posti esclusivi diventati mete turistiche come Saint Tropez, Monaco, Parigi...
Ci si puo' passare, fermarsi ed ammirare senza avere la minima idea del prezzo al metro quadrato di quelle meraviglie..

Ecco qui svelato, in parte, il segreto..

Per esempio nel 2015 la via più cara in assoluto era a Hong Kong : Peak Road. 
Qui, secondo l’agenzia immobiliare Savills, che ha raccolto alcuni dati per la rivista Billionaire, il costo al m2 può raggiungere anche quasi 105mila euro!

Avenue des Palmiers (Les Parcs de Saint-Tropez, Francia)
Prezzo medio m2: 35.700 euro



Peak Road (Hong Kong) 
Prezzo medio m2: 105.000 euro

Upper Fifth Avenue (New York, Stati Uniti)
Prezzo medio m2: 99.000 euro

Knightsbridge (Londra, Regno Unito)
Prezzo medio m2: 94.300 euro


Avenue Princesse Grace (Monaco)
Prezzo medio m2: 91.600 euro

Chemin du Semaphore (Cap Ferrat, Francia)
Prezzo medio m2: 61.300 euro

Wolseley Road (Point Piper, Australia)
Prezzo medio m2: 40.000 euro




lunedì 18 luglio 2016

Cos'è il birdwatching?

 
 
Il birdwatching è l’osservazione degli uccelli in ambiente naturale, è l'interesse per i "pennuti" e per il loro modo di vivere.
 
 
Il birdwatching è nato dalle culture anglosassoni, ed è conosciuto in Italia con il termine americano di birding. 
 
Al mondo esistono circa 10.000 specie di uccelli. 

La regione dell’ Europa chiamata Paleartico Occidentale che comprende oltre all’ Europa, il Nord Africa e il Medioriente, ospita circa 800 specie. 
Di queste, 450 frequentano l' Italia: sono le nidificanti, le svernanti o le migratrici e circa 250 fanno parte di quella chiamata la “checklist”, cioè la lista degli uccelli che nidificano e si riproducono nella Penisola italiana.

Gli uccelli hanno sempre affascinato gli uomini sia per la loro capcità di volare come per la gamma incredibile dei colori delle loro penne.
 
Un'attività di ricerca ludica e ricreativa si è sviluppata intorno a questo interesse per il mondo degli uccelli.
 
Le informazioni raccolte consentono a arricchire pubblicazioni scientifiche, bollettini o periodici dedicati all' ornitologia e che diventano una fonte di conoscenza importante per chi ama la natura. 
Dall‘osservazione di questi animali nella natura è possibile trarre moltissime informazioni sullo stato degli ambienti e delle singole specie. 
 
Il birdwatching è inoltre una passione che riguarda grandi e piccini, curiosi e stimolati alla capacità di apprendere quanto il mondo degli alati possa incidere sul sistema naturale.

Il 6% della popolazione inglese ama il birdwatching, una passione che diventa vera e propria industria, motore di turismo.
Infatti non c’è bed & breakfast, albergo piccolo e grande, soprattutto nelle campagne, che non sia dotato di un angolo dedicato a questa pratica, di una bacheca con appuntamenti e indicazioni per osservare anatre, oche, merli acquaioli, pulcinelle di mare...


L'Italia non è da meno in quanto a bellezze da osservare e luoghi privilegiati in cui praticare il birdwatching.
 
Pensiamo soltanto ai luoghi di migrazione come lo Stretto di Messina o al Delta del Po, o a zone umide più piccole ma non certo meno affascinanti come la bellissima Riserva Lipu di Torrile, a due passi da Parma.
 
Il birdwatching è un’attività che non richiede necessariamente grandi spostamenti; si può praticare ovunque: nei luoghi più leggendari del mondo o guardando fuori dalla finestra, dal giardino di casa o passeggiando in un parco. 
Il fattore che determina il successo crescente di questa pratica è la scoperta di innumerevoli tipologie di uccelli e le diverse modalità in cui vivono e si riproducono. 

 


giovedì 14 luglio 2016

Normandie : cest quoi la Teurgoule?

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La teurgoule (quelquefois appelée torgoule ou tergoule) est une spécialité culinaire de Normandie.
C’est un dessert, sorte de riz au lait sucré parfumé à la cannelle cuit à four très doux très longtemps, environ 5 heures, dans un plat spécialement conçu à cet usage, de telle façon que les grains de riz ne sont presque plus discernables.


Une variante préparée dans le sud de la Manche et les environs de Saint-Lô est faite par cuisson à feu modéré dans une casserole, où il faut tourner régulièrement le mélange de lait, de sucre et de riz pour éviter qu'il n'attache au fond de la casserole et pour qu'il se colore et prenne une consistance assez épaisse.
Elle se déguste souvent chaude avec du cidre ou du Calvados.


Ce dessert serait apparu dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. 
Après un printemps humide, un été pluvieux avait fait perdre les récoltes. 
Redoutant une disette, François-Jean d’Orceau, baron de Fontette, intendant de la généralité de Caen de 1760 à 1775, fait alors venir du riz d’outre-mer. 
Mais personne ne connaît alors dans la région cette céréale et le baron de Fontette fait placarder des recettes pour la préparer. 
Ce sera entre autres la terrinée, du nom du récipient ou teurgoule, nom exprimant l’humour normand face à ce mets souple et un peu collant à la goule… 

Certains disent aussi que sa longue cuisson était bien pratique pour les femmes des marins de Honfleur (autre port de l’outre-mer) qui faisaient chauffer longtemps ce mets en attendant le retour de leurs maris.
Ainsi, la base de ce plat est le riz mais aussi un autre ingrédient exotique, la cannelle, sans ou­blier le sucre. 
Son caractère bien normand est présent avec les deux litres de lait nécessaires à sa confection.
 
La Teurgoule est vendue au détail ou en terrine de différentes capacités (500 g, 1 ou 2 kg). 
On peut la trouver facilement sur les marchés de Caen le dimanche, sur les quais, ou sinon au marché du vendredi Place Saint-Sauveur.
Là, on trouve aussi la « Teurgoule d'or » faite par une fermière qui l’expose fièrement.
 
On peut aussi trouver de la teurgoule sur d'autres marchés, com­me celui de Bayeux, le samedi matin, comme celle cuite dans le four à pain de la ferme de la Rançonnière à Crépon. 
Plusieurs fermes vendent de la teurgoule « maison » sur ce marché.
Hors des marchés, on peut acheter de la Teurgoule dans des entreprises qui en fabriquent, comme l’entreprise Urban à Janville.
 

Autrefois de rigueur lors des fêtes de villages dans l'Orne et le Calvados, la Teurgoule est restée un dessert familial
Elle est aussi consommée dans la journée, de préférence tiède, accompagnée de Fallue (brioche normande) et de cidre.
 


Il existe depuis environ quinze ans une Confrérie des Gastronomes de la Teurgoule de Normandie, qui organise chaque année, en octobre, le concours de la Teurgoule d'Or.

Recette (pour quatre personnes) 
 - 150 grammes de riz.
- 2 litres de lait de ferme.
- 200 grammes de sucre.
- 1 sachet de sucre vanillé.
- 2 cuillères à café de cannelle.
Préparation
Dans une terrine, verser le lait sur le riz, le sucre et le sucre vanillé. Puis saupoudrer deux cuillères à café de cannelle. Faire cuire ensuite quatre à cinq heures dans un four à pain. (Recette de Geneviève Achard.)
Pour ceux qui ne disposent pas de four à pain, on peut utiliser un four électrique à thermostat très doux (160°, thermostat 5), le préchauffer et cuire pendant trois heures. Attention : la qualité du lait est très importante : il faut utiliser du lait de ferme (lait cru), à défaut du lait entier qui donnera un résultat un peu moins crémeux.



Bien évidemment il n’existe pas une seule recette de Teurgoule ! Le principe reste celui de ne pas mettre trop de riz et de cuire doucement et longtemps la préparation.
 
En savoir plus sur http://www.cuisinealafrancaise.com/fr/dgal/produits/123-teurgoule#mVyX02ALZg4tsFxu.99
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